Les soins énergétiques agissent sur les corps subtils.
En effet, notre corps physique représente le plan le plus grossier car nous sommes constitués de chair et de sang. Les autres corps sont dits subtils car ils sont non perceptibles à l’œil humain et appartient à des plans immatériels.
Ils sont au nombre de 6 à 11 selon les différentes traditions religieuses ou philosophiques.
La tradition védique fait référence à 6 corps subtils.
- Le 2ème corps est le corps éthérique se trouve entre 2 à 5 cm du corps physique.
- Le 3ème corps est dénommé le corps astral ou émotionnel. Ce corps stocke nos croyances, nos émotions, nos peurs…
- Le 4ème corps est le corps mental. Dans ce corps se créent les pensées, les schémas mentaux…
- Le 5ème corps se trouve être le corps causal, c’est le réceptacle de nos expériences vécues à travers nos vies passées, au cours de nos vies antérieures. Dans les védas, il est question de 84 millions d’incarnations en passant de l’état minéral, végétal, animal et humain…
- Le 6ème corps est le corps Bouddhique qui est celui de la pleine conscience et de la connaissance.
- Le 7ème corps est appelé le corps divin ou atmique. Une fois atteint ce plan, « l’Homme » est en mesure d’échapper au cycle des réincarnations en intégrant la conscience divine.
Quels sont les corps sur lesquels nous travaillons en soins énergétiques ?
Le soin énergétique peut agir sur la base du problème quand le patient le souhaite, le demande et poursuit un travail sur lui-même après le soin.
Un soin énergétique agit sur les 3 corps éthérique, astral et mental.
Il agira donc à la source des peurs, des angoisses… voir des schémas mentaux si le consultant est réceptif au soin.
En terme éthique, nous ne pouvons pas agir sur le corps causal… la conscience cosmique sait mieux que le thérapeute ce qui doit être accompli dans cette vie. Quant aux vies passées, si nous n’y avons plus accès, c’est qu’il n’y a pas lieu de réveiller des douleurs ou traumatismes des vies antérieures qui ont été soient résolues ou en cours de résolution.
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